Bon, j'ai bien avancé hier grâce aux ww et aux défis. C'est un peu (voire complètement) bouseux mais mon compteur de mots est à 9 K, je devrais en être à 23 mais c'est une petite reprise. Merci aux nanowriteurs du chat et du forum, ça m'a reboostée. Voici donc un des mini-chapitres écrits hier, sans retouche.

Chapitre 17 où Supercoiffé va se promener Après sa petite sieste, Supercoiffé décida d’aller prendre l’air, mmmm, une promenade dans la forêt, rien de mieux pour s’aérer les idées. Il mit donc sa petite écharpe polaire autour de son coup et s’en fut. Il longea le petit cours d’eau et prit le sentier à gauche de la droite de l’arbre de gauche de la droite qui partait de chez lui. Après un tel trajet, il se remit à avoir les crocs : « et si je me trouvais de quoi goûter, mmmm, un bon petit goûter, tout frais, tout chaud, oui, ça me semble parfait ! » Mais en dehors des baies, il n’y avait pas grand-chose : quelques touffes d’herbes grasses et grosses (un peu écoeurantes, il faut l’avouer), des glands de l’automne dernier, des crottes de lapin, rien de terrible pour le goûter de Supercoiffé. Il sentit tout d’un coup la bonne odeur du petit lapin. Mmmmmm quel fumet, j’en croquerai. Par l’odeur alléché, il se mit donc à tourner dans le quartier, et tourner, tourner tourner… Il trouva enfin le petit terrier, glissa sa patte velue dans le trou et hop, en retira un petit lapereau de trois semaines, tout mouillé (on avait dû le laver). Il était propre, mignon, craquant. Supercoiffé craqua (donc) et le goba, tout cru, d’un trait. Tout cru, tout rond, comme un bonbon. Le petit lapereau n’eut rien le temps de sentir et atterrit directement dans la panse du renard, où il put entamer la causette avec la petite poulette.